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Posté : 05 sept. 2008 11:00
par medico
désolé je me suis trompé de sujet. :oops:
Posté : 06 sept. 2008 03:17
par macqueen
La prophetie d'hénok était inspiré de Dieu puisque Jude s'y refère, donc le livre qui renfermait cette prophetie faisait -il partie des "écritures inspirées" ?
La 2eme épitre écrite à Thimothée fut Probablement écrite à Rome, en 65-67 après J.-C.
Quand paul parle de "toutes écritures inspirées" il englobe t-il l'Apocalyse, l'Evangile de Jean ?
Quand le canon biblique fut-il établi, fixant " toutes écritures inspirées" ?
Comment avant la date de l'établissement du canon, les chrétiens faisaient-ils pour déterminer "toutes écritures inspirées" ???
Posté : 06 sept. 2008 05:36
par Nhoj
La prophetie d'hénok était inspiré de Dieu puisque Jude s'y refère, donc le livre qui renfermait cette prophetie faisait -il partie des "écritures inspirées" ?
Hénok n'a pas écrit le livre qui lui est attribué. C'est une autre personne qui l'a écrit plus tard. Cette autre personne a très bien pu prendre une vraie prophétie de Hénok pour l'inclure ce livre pour le moins pseudépigraphe.
La 2eme épitre écrite à Thimothée fut Probablement écrite à Rome, en 65-67 après J.-C.
Quand paul parle de "toutes écritures inspirées" il englobe t-il l'Apocalyse, l'Evangile de Jean ?
Bien que la Révélation, ou Apocalypse est postérieure à ces propos, il est raisonnable de croire que, puisqu'il parle de
toute écriture, les écritures inspirées postérieures à sa lettre sont incluses. Pour rappel, l'évangile selon Jean fût écrit encore après la Révélation.
Quand le canon biblique fut-il établi, fixant " toutes écritures inspirées" ?
Comment avant la date de l'établissement du canon, les chrétiens faisaient-ils pour déterminer "toutes écritures inspirées" ???
Il y a toujours eu un canon en ce sens que les adorateurs de Dieu, qu'elles que soient les époques où ils ont vécus, ont toujours pris en comptes certains écrits et ignorés d'autres. Pour ce qui est des premiers chrétiens, ils étaient contemporains d'écrivains bibliques. Ils avaient donc bien plus facile de déterminer si un écrit émanait de Dieu. Ils voyaient également que Paul se référait à tel ou tel livre, idem pour le Christ quelques décennies auparavant.
Posté : 08 sept. 2008 02:33
par medico
oui comme tu le dis il n"a rien écrit .
mais il avait reçu le témoignage qu'il avait été agréable à Dieu. Or, sans la foi, il est impossible d'être agréable à Dieu".
Posté : 08 sept. 2008 14:05
par Païenne
Hello,
Peut-on avoir une réponse ?
Posté : 08 sept. 2008 16:14
par Matthieu100886
Dieu a pourvu à ce que sa Parole soit compilé comme il le fallait..comment douter de cela alors qu'il a crée toute choses, ne pouvait til pas faire en sorte que sa parole soit compilé de la maniere qu'il le souhaitait
Posté : 08 sept. 2008 17:01
par Zouzouspetals
Matthieu100886 a écrit :Dieu a pourvu à ce que sa Parole soit compilé comme il le fallait..comment douter de cela alors qu'il a crée toute choses, ne pouvait til pas faire en sorte que sa parole soit compilé de la maniere qu'il le souhaitait
C'est donc Lui qui a fait en sorte que le Tétragramme soit retranscrit par Kurios, Adonaï, Seigneur... ?
Vous êtes drôles, vous les Témoins de Jéhovah. Quand cela vous arrange, Dieu a préservé l'intégrité de la Bible et des doctrines fondamentales à travers les siècles (cf le mythe de "l'esclave fidèle et avisé) ; et quand cela vous arrange, l'apostasie a éclaté dès la mort du dernier apôtre, le nom divin a été effacé et de faux dogmes se sont développés au sein de... (attention, bouchez les oreilles des petits enfants, un gros mot arrive)... "la chrétienté".
Faudrait vous mettre d'accord... enfin si cela vous arrange, bien sûr. ;-)
Posté : 09 sept. 2008 09:34
par Sherlock
Nhoj a écrit :
Hénok n'a pas écrit le livre qui lui est attribué. C'est une autre personne qui l'a écrit plus tard. Cette autre personne a très bien pu prendre une vraie prophétie de Hénok pour l'inclure ce livre pour le moins pseudépigraphe.
Comme la majorité des livres de la bible. Ainsi nous avons Moise qui relate sa propre mort...
Bien que la Révélation, ou Apocalypse est postérieure à ces propos, il est raisonnable de croire que, puisqu'il parle de toute écriture, les écritures inspirées postérieures à sa lettre sont incluses. Pour rappel, l'évangile selon Jean fût écrit encore après la Révélation.
Au nom de quoi ? Le canon n'existe pas à l'époque!
Et d'où sortez-vous que l'Evangile de Jean est postérieur à l'Apocalypse ? C'est une nouveauté jéhoviste ?
Il y a toujours eu un canon en ce sens que les adorateurs de Dieu, qu'elles que soient les époques où ils ont vécus, ont toujours pris en comptes certains écrits et ignorés d'autres. Pour ce qui est des premiers chrétiens, ils étaient contemporains d'écrivains bibliques. Ils avaient donc bien plus facile de déterminer si un écrit émanait de Dieu. Ils voyaient également que Paul se référait à tel ou tel livre, idem pour le Christ quelques décennies auparavant.
C'est pour cela que les Alogiens rejetaient le livre de l'Apocalypse car il était impossible à Jean l'apotre d'écrire à l'Eglise de Thyatire en 96 alors que celle-ci n'existait pas à l'époque...
Posté : 09 sept. 2008 12:11
par Nhoj
C'est pour cela que les Alogiens rejetaient le livre de l'Apocalypse car il était impossible à Jean l'apotre d'écrire à l'Eglise de Thyatire en 96 alors que celle-ci n'existait pas à l'époque...
Ne demandez pas "au nom de quoi" alors. Des livres ont toujours été ignorés et cela, bien avant le premier canon "officiel".
Posté : 10 sept. 2008 04:22
par Sherlock
Nhoj a écrit :
Ne demandez pas "au nom de quoi" alors. Des livres ont toujours été ignorés et cela, bien avant le premier canon "officiel".
Sauf que Jérome leur donne raison après enquête et considère qu'il faut considerer l'Eglise de Thyatire comme une prophétie.
De plus, vous nous avez bombardé la rédaction de l'Evangile de Jean APRES la rédaction de l'Apocalypse. Et vous avez raison. Le problème, c'est que c'est l'INVERSE qui est affirmé par la Watchtower et tous les fondamentalistes.
Que devons-nous conclure ?
Posté : 10 sept. 2008 06:54
par Nhoj
Non, nous disons que la rédaction de l'évangile de Jean est postérieure à celle de l'Apocalypse. Mais là n'est pas la question.
Posté : 10 sept. 2008 07:56
par Sherlock
Nhoj a écrit :Non, nous disons que la rédaction de l'évangile de Jean est postérieure à celle de l'Apocalypse. Mais là n'est pas la question.
Impossible. Votre livre "Toute Ecriture est inspirée de Dieu" m'indique le contraire.
TOUTE Écritures inspirées....
Posté : 10 sept. 2008 08:57
par ti-Jean
Bonjour à tous,
à titre d'information:
Traduction de Bible et leur contenu.
L'établissement d'une liste de canonicité de livres fondateurs est toujours le fait d'une autorité. Il en va ainsi tant pour le canon de la Septante, peut-être imité d'une chronologie Alexandrine, que pour le canon de la Bible hébraïque ou encore pour le canon des écritures défini au Concile de Trente.
Catholiques et protestants n'ont pas le même canon des livres de l'Ancien Testament. Les catholiques reconnaissent des livres deutérocanoniques, c'est-à-dire admis secondairement dans le canon (du grec deutéros second), que les protestants désignent au contraire comme apocryphes. Des divergences existent aussi entre les églises orientales.
Les catholiques reconnaissent la plupart des livres contenus dans la Septante qui contenait des livres écrits en grec. À partir de la Réforme, Luther, et, par suite, les protestants, n'ont retenu que les livres contenus dans le Tanakh, se fondant sur le principe, donné par Jérôme, le traducteur de la Vulgate, de la veritas hebraica.
Cette différence de corpus de texte fondateur tient à la publication en 1504 par Elias Levita,
1 d'une révision de la grammaire hébraïque de Moshe Kimchi
2. Cette révision serait passée inaperçue si Eliahu n'avait précisé que seul le texte consonnantique du Tanakh est de la rédaction d'Esdras tandis que la vocalisation du texte est l'œuvre des Massorètes, achevée vers le VIe siècle.
Les protestants devinrent adeptes de la version hébraïque au nom de sa plus grande antiquité tandis que les catholiques déniaient cette antiquité du fait des voyelles plus tardives.
Ils argumentaient contre les protestants que la Septante était en usage chez les premiers chrétiens avant la fixation définitive du canon hébraïque et que la Bible ne saurait se comprendre sans la tradition fixée par le magistère à l'imitation de la tradition massorète.
Cette affaire de voyelles tardives lança l'examen du dogme talmudique qui postulait que le Pentateuque était écrit par Moïse. Cet examen fut lancé par Gilbert Génébrard (1535–1597) qui postula une canonisation de la Bible hébraïque en 3 étapes :
• après la rédaction d'Esdras,
• le grand prêtre de Jérusalem avait convoqué les 72 traducteurs de la Septante pour les envoyer en Égypte canoniser Tobit, Qohelet et les autres Ketoubim,
• Enfin, un dernier synode, sous Shammaï et Hillel aurait canonisé les livres Macchabées.
La problématique essentielle, à cette époque, tentait de connaître le cheminement des apocryphes jusqu'à la version latine du canon, en dépit de l'estime de Jérôme pour le canon hébreu.
John Cosin (1595-1672)
3. tenait à ce que la Diaspora Juive les eût elle-même introduits, dans un premier temps dans la version grecque de Théodotion, et que de là ils fussent passés dans la version latine.
Le facteur grec fut souligné par John Ernest Grabe (1666-1711) qui, à l'hypothèse de Génébrard d'un sanhédrin de Jérusalem pour mandater les septantes, substitua celle d'un sanhédrin alexandrin, après avoir observé que la plupart des apocryphes venaient d'Alexandrie.
Le traducteur en anglais de la Lettre d'Aristée, Thomas Lewis, affirmait que de nombreux écrits de l'Ancien Testament étaient en usage au Temple juif de Léontopolis et, par ce biais, avaient trouvé leur chemin vers la Palestine.
Livres disparus mentionnés dans la Bible
Des écrits mentionnés comme faisant autorité dans la Bible n'y figurent pas. Il s'agit des textes suivants : le Livre de l'alliance (Ex 24:7), les Guerres de l'Éternel (No 21:14), le Livre du Juste (Jos 10:13 ; 2 S 1:18), le Livre des actes de Salomon (1 R 11:41), le Livre de Samuel le voyant (1 Ch 29:29), le Livre de Nathan le prophète (1 Ch 29:29 ; 2 Ch 9:29), le Livre de Gad le prophète (1 Ch 29:29) ; la Prophétie d'Achija de Silo (2 Ch 9:29), les Révélations de Jéedo le prophète (2 Ch 9:29), le Livre de Schemaeja le prophète (2 Ch 12:15), le Livre d'Iddo le prophète (2 Ch 12:15 ; 13:22), les Mémoires de Jéhu (2 Ch: 20:34), le Livre de Hozaï (2 Ch 33:19), les prophéties d'Hénoch/Hénoc (Jud v. 14), une épître aux Corinthiens (1 Co 5:9), une épître aux Éphésiens (Ép 3:3,4) et une épître aux Laodicéens (Col 4:16), laquelle est retenue comme canonique par l'église syriaque.
respectueusement
Posté : 27 sept. 2008 12:00
par Bertrand
La septante fut une traduction fait par 70 vieilard s juifs demandé par Ptolémé d'Égyte,, afin de faire partie de la bybliothèque d'Alexandrie.. en grècque;; les juifs comme les chrétien décidèrent que eux auraient la responsabilité de décider ce qui est inspiré ou non;;
le livre d'Hécok semble dénoncer les 70 juils qui .....il est donc évident que les juifs n'en voulaient pas ..... en plus il parle d'un homme qui se serait sacrifié et formé 12 nouvelles colonnes... hé dehors
et comme la septante est la principale traduction de l'Hébreux au greque;... puissance dominante a l'époque... et qui servi a la traduction de la mojorité des autres bible.... bien Hénok= dehors
Posté : 27 sept. 2008 12:08
par medico
les chrétiens n'on rien a voir dans la rédaction de la septante .