Témoins de Jéhovah :: forum

juste une petite explication, ça s'impose face à tant d'amalgames:

l'homosexualité est une sexualité qui n'engendre rien de spécial, aucune négativité.

La pédophilie, le crime, le viol,n etc....sont des délits et des actes nuisibles et dangereux.

Faut quand même pas tout mélanger! :shock:

loupbleu a écrit :juste une petite explication, ça s'impose face à tant d'amalgames:

l'homosexualité est une sexualité qui n'engendre rien de spécial, aucune négativité.

La pédophilie, le crime, le viol,n etc....sont des délits et des actes nuisibles et dangereux.

Faut quand même pas tout mélanger! :shock:

la bible condamne tout cela.
(1 Corinthiens 6:9-10) 9 Comment ! Ne savez-vous pas que les injustes n’hériteront pas du royaume de Dieu ? Ne vous égarez pas. Ni fornicateurs, ni idolâtres, ni adultères, ni hommes qu’on entretient à des fins contre nature, ni hommes qui couchent avec des hommes, 10 ni voleurs, ni gens avides, ni ivrognes, ni insulteurs, ni extorqueurs n’hériteront du royaume de Dieu [...]
mais maintenant retour au sujet.

loupbleu a écrit :juste une petite explication, ça s'impose face à tant d'amalgames:

l'homosexualité est une sexualité qui n'engendre rien de spécial, aucune négativité.

La pédophilie, le crime, le viol,n etc....sont des délits et des actes nuisibles et dangereux.

Faut quand même pas tout mélanger! :shock:

l'homosexualité est une sexualité qui n'engendre rien de spécial, aucune négativité.

C'est tout les homosexuels de tout poils qui te l'ont dit ?

Mais effectivement on est loin du sujet....

Définitions du respect



Vient du latin respectus (action de regarder en arrière) ; le respect signifie : l’égard, la considération, et la révérence. Cf. déf. du Petit Robert : " sentiment qui porte à accorder à quelqu’un une considération admirative, en raison de la valeur qu’on lui reconnaît, et à se conduire envers lui avec réserve et retenue, par une contrainte acceptée ". " Par extension, sentiment de vénération dû au sacré, à Dieu… " ; culte, admiration, piété. " Considération que l’on porte à une chose jugée bonne avec la résolution de n’y pas porter atteinte, de ne pas l’enfreindre ".



Selon le sens commun, on doit respecter celui dont on reconnaît une certaine supériorité (en raison de son âge, de ses fonctions ou de son mérite).


Quand manque-t-on de respect à quelqu'un ?
Attention au "quand" : il ne s'agit pas ici d'énumérer des circonstances, car ce serait tenir l'exemple pour une démonstration, pour un concept, ce qui est anti-philosophique. Il s'agit plutôt d'une invitation à creuser le concept même de respect. Le "quand" renvoie donc à une condition essentielle, ainsi qu'à un critère de reconnaissance. Il s'agira donc dans ce devoir de différencier le respect d'attitudes approchantes (l'amour, l'amitié, la peur, l’admiration, etc.). C'est par là que vous devrez vous diriger progressivement vers le "noyau", l'essence, du respect.



Evidemment, vous pouvez (et même je pense qu'il faut le faire) partir d'une situation concrète qui est communément tenue pour une marque de respect envers quelqu'un : par exemple, la politesse. Puis, il faudra montrer, après une analyse précise de cet exemple (en montrant comment alors on considère l'homme, etc.), qu'il manque ici une des conditions fonamentales du respect.



Attention : le terme de respect ne désigne pas un sentiment psychologique ou d'ordre affectif ; il désigne plutôt un sentiment d'ordre rationnel, et moral. C'est quelque chose d'assez abstrait. Par exemple, même si Dutrou vous répugne, si vous le haïssez, etc. (sentiments d'ordre affectif, des pulsions, en somme), vous devez le respecter car c'est un homme. Mais c'est évidemment quelque chose de très difficile… Il est toujours associé en ce sens à la notion de personne, à la dignité (l'homme a une valeur, pas un prix). Kant a beaucoup parlé du respect en ce sens.



"Quelqu'un" : terme abstrait, vous devrez donner un contenu à ce quelqu'un (l'autre homme ? Mes parents ? Mon ami ? Ma femme ? Une personne? Etc. )



Il va de soi que toute une conception de l'homme est ici en jeu (si vous définissez le respect de telle manière, alors, vous avez telle conception de l'homme ; et si vous avez une conception instrumentale de l'homme, alors, vous pouvez montrer que ce n'est pas un vrai respect)

Exrait de Philocours.com

loupbleu a écrit :juste une petite explication, ça s'impose face à tant d'amalgames:

l'homosexualité est une sexualité qui n'engendre rien de spécial, aucune négativité.

La pédophilie, le crime, le viol,n etc....sont des délits et des actes nuisibles et dangereux.

Faut quand même pas tout mélanger! :shock:

Je ne suis pas du tout homophone car je ne manifeste ni dans mes actes ni dans mes pensées quelque répulsion que ce soit à l'égard des personnes elles-même, des êtres humains. Par contre, de très nombreuses études prouvent qu'il y a proportionnellement plus d'homosexuels contaminés par des maladies sexuellement transmissibles -MST- que d'hétérosexuels. Alors dire que l'homosexualité n'engendre rien de négatif .... pas si sûr !

Czana a écrit :Définitions du respect



Vient du latin respectus (action de regarder en arrière) ; le respect signifie : l’égard, la considération, et la révérence. Cf. déf. du Petit Robert : " sentiment qui porte à accorder à quelqu’un une considération admirative, en raison de la valeur qu’on lui reconnaît, et à se conduire envers lui avec réserve et retenue, par une contrainte acceptée ". " Par extension, sentiment de vénération dû au sacré, à Dieu… " ; culte, admiration, piété. " Considération que l’on porte à une chose jugée bonne avec la résolution de n’y pas porter atteinte, de ne pas l’enfreindre ".



Selon le sens commun, on doit respecter celui dont on reconnaît une certaine supériorité (en raison de son âge, de ses fonctions ou de son mérite).


Quand manque-t-on de respect à quelqu'un ?
Attention au "quand" : il ne s'agit pas ici d'énumérer des circonstances, car ce serait tenir l'exemple pour une démonstration, pour un concept, ce qui est anti-philosophique. Il s'agit plutôt d'une invitation à creuser le concept même de respect. Le "quand" renvoie donc à une condition essentielle, ainsi qu'à un critère de reconnaissance. Il s'agira donc dans ce devoir de différencier le respect d'attitudes approchantes (l'amour, l'amitié, la peur, l’admiration, etc.). C'est par là que vous devrez vous diriger progressivement vers le "noyau", l'essence, du respect.



Evidemment, vous pouvez (et même je pense qu'il faut le faire) partir d'une situation concrète qui est communément tenue pour une marque de respect envers quelqu'un : par exemple, la politesse. Puis, il faudra montrer, après une analyse précise de cet exemple (en montrant comment alors on considère l'homme, etc.), qu'il manque ici une des conditions fonamentales du respect.



Attention : le terme de respect ne désigne pas un sentiment psychologique ou d'ordre affectif ; il désigne plutôt un sentiment d'ordre rationnel, et moral. C'est quelque chose d'assez abstrait. Par exemple, même si Dutrou vous répugne, si vous le haïssez, etc. (sentiments d'ordre affectif, des pulsions, en somme), vous devez le respecter car c'est un homme. Mais c'est évidemment quelque chose de très difficile… Il est toujours associé en ce sens à la notion de personne, à la dignité (l'homme a une valeur, pas un prix). Kant a beaucoup parlé du respect en ce sens.



"Quelqu'un" : terme abstrait, vous devrez donner un contenu à ce quelqu'un (l'autre homme ? Mes parents ? Mon ami ? Ma femme ? Une personne? Etc. )



Il va de soi que toute une conception de l'homme est ici en jeu (si vous définissez le respect de telle manière, alors, vous avez telle conception de l'homme ; et si vous avez une conception instrumentale de l'homme, alors, vous pouvez montrer que ce n'est pas un vrai respect)

Exrait de Philocours.com

Intérêssant ton exposé Czana, mais un peu compliqué pour mon petit cerveau ( enfin ce qu'il en reste )

Intérêssant ton exposé Czana, mais un peu compliqué pour mon petit cerveau ( enfin ce qu'il en reste )

pourquoi te diminues tu ?

brigitte3 a écrit : pourquoi te diminues tu ?

Parce que je le suis

VENT a écrit : Parce que je le suis

Parce que tu y es ou parce qu'on t'as fait croire celà ?

En tout cas tu n'as pas du tout l'air diminué.

attention a la fausse humilité nous dit PAUL. :D

medico a écrit :attention a la fausse humilité nous dit PAUL. :D

Je ne crois pas que vent fasse de la fausse humilité que crois que c'est qlq'un qui a été réellement brisé quel dommage! :(

Czana a écrit : Je ne crois pas que vent fasse de la fausse humilité que crois que c'est qlq'un qui a été réellement brisé quel dommage! :(

Merci Czana ce soir je ne suis pas en état de répondre quoi que ce soit

VENT a écrit : Merci Czana ce soir je ne suis pas en état de répondre quoi que ce soit

je ne pense pas que medico a voulut de bléser.

VENT a écrit : Merci Czana ce soir je ne suis pas en état de répondre quoi que ce soit

je ne pense pas que medico a voulut de bléser.[/quote]

Je ne pense pas non plus .
Mais voilà un exemple type du manque de respect
Je développerai plus tard, je ne suis toujours pas en état.

Merci de votre compréhension

Oui Médico n'a jamais de mauvaises intentions j'en suis convaincu, c'était une boutade!
Mais c'est vrai que quand on a tjs vécu ds l'hostilité, on a plus le sens de l'humour et ça peut être pour certain un coup de poignard de + .
Vent j'espère que tu réussis à te reconstruire à présent.