Posté : 11 août 2008 07:13
Non, tu n'as pas compris. J'ai voulu mettre en avant la nature semblable qui unit le Père et le Fils et les rôles différents qu'ils ont l'un et l'autre.
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Je ne comprends pas du tout ce que tu veux dire ... le Messie était le Seigneur d'Israel promis par DIeu pour délivrer le peuple élu. "Seigneur" était une appellation courante d'un personnage qu'on considérait comme supérieur à soi.Dans ton raisonnement, il faut que le titre "Seigneur" ait un sous-entendu messianique, ce qui n'est pas vrai pour les Juifs qui appelaient "seigneur" les hommes manquant d'humilité ou Dieu.
Si. La christologie du 1er siècle est simplement restreinte : elle considère Jésus comme le Messie, Seigneur du Royaume de Dieu, point. Elle ne traite pas du Fils en terme de nature. On peut se douter que donc, le questionnement sur la nature du Fils a de grandes chances d'être oiseux.On ne peut pas parler de christologie du vivant de Jésus, personnage qui a été compris à sa mort et à sa résurrection et dont la compréhension a continué de mûrir chez ses disciples et les premiers chrétiens.
Et même 98, mais je récuse ce que tu dis. Chez Jean, Jésus est plus que jamais humain et inférieur à Dieu (voir Jean 20 : 17 par exemple) : C'est en cela qu'on peut dire que depuis Marc (1er évangile selon les exégèses récentes) jusqu'à Jean, la christologie est assez stable. Ce n'est qu'ensuite qu'elle évolue radicalement.D'ailleurs, c'est pour ça que l'évangile selon Jean est celui qui clame le plus fort la divinité absolue du Christ : parce qu'il est le plus tardif des quatre (environ 95).
La Bible dit qu'il n'y a qu'un seul Seigneur : alors, est-ce Jésus, le Père ou Dieu ?Irmeyah a écrit : Je ne comprends pas du tout ce que tu veux dire ... le Messie était le Seigneur d'Israel promis par DIeu pour délivrer le peuple élu. "Seigneur" était une appellation courante d'un personnage qu'on considérait comme supérieur à soi.
La christologie démarre avec l'évènement pascal. Et donc quand le Christ est mort.Si. La christologie du 1er siècle est simplement restreinte : elle considère Jésus comme le Messie, Seigneur du Royaume de Dieu, point. Elle ne traite pas du Fils en terme de nature. On peut se douter que donc, le questionnement sur la nature du Fils a de grandes chances d'être oiseux.
Mais le Père est le Dieu du Fils comme le Fils est le Dieu du Père ! Voir à ce propos Hé 1,8. Le fait pour Jésus de proclamer Dieu comme étant le sien n'invalide pas sa propre divinité puisqu'il est venu pour une raison bien précise : montrer l'exemple. Comment pouvait-il montrer l'exemple si sa nature humaine ne rendait pas le culte à Dieu ? Tous les passages que tu crois contradictoires s'expliquent au travers des passages affirmant que Jésus est Dieu et au moyen de la notion, inscrite dans la Bible, de la double nature de Jésus.Et même 98, mais je récuse ce que tu dis. Chez Jean, Jésus est plus que jamais humain et inférieur à Dieu (voir Jean 20 : 17 par exemple) : C'est en cela qu'on peut dire que depuis Marc (1er évangile selon les exégèses récentes) jusqu'à Jean, la christologie est assez stable. Ce n'est qu'ensuite qu'elle évolue radicalement.
Il n'y a qu'un seul Seigneur du Sabbat, Seigneur messianique : Jésus, le Fils. Car le propos du NT est l'établissement de ce Seigneur messianique, et pas d'un autre.La Bible dit qu'il n'y a qu'un seul Seigneur : alors, est-ce Jésus, le Père ou Dieu ?
Mais nous avons aussi des passages qui nous disent que le Verbe, alias le Fils, alias Jésus, est tourné vers Dieu, qu'il est avec Dieu et qu'il est Dieu !
Je n'ai pas dit que la Bible n'en parlais pas, j'ai dit qu'il serait certainement oiseux de se lancer dans une rationalisation excessive de sa nature.De même, nous pouvons lire que le Fils "était de condition divine". Comment ne pas concevoir la double nature du Fils et déclarer que la Bible n'en parle pas ?
Heu ... non. C'est justement là que la Bible démontre qu'il y a dissymétrie car le Père est définitivement au dessus du Fils, dont il est le Dieu. D'ailleurs ta phrase donne le tournis et ne permet pas d'expliquer la théologie biblique de manière satisfaisante. Un peu de sérieux.Mais le Père est le Dieu du Fils comme le Fils est le Dieu du Père !
La TMN traduit :Voir à ce propos Hé 1,8.
Si. Selon la théologie vétérotestamentaire, Dieu ne peut être homme en aucune façon, il est au dessus de l'humanité de manière absolue. En insistant autant sur la nature humaine du Christ, le NT (tous les rédacteurs sont juifs connaissant parfaitement l'AT) veut à coup sûr démontrer que le Fils est inférieur à Dieu.Le fait pour Jésus de proclamer Dieu comme étant le sien n'invalide pas sa propre divinité
Heu ... je ne vois aucun passage contradictoire !puisqu'il est venu pour une raison bien précise : montrer l'exemple. Comment pouvait-il montrer l'exemple si sa nature humaine ne rendait pas le culte à Dieu ? Tous les passages que tu crois contradictoires
Il n'y a justement pas de distinction en terme de nature dans la Bible ...s'expliquent au travers des passages affirmant que Jésus est Dieu et au moyen de la notion, inscrite dans la Bible, de la double nature de Jésus.
Le Seigneur des seigneurs est un Seigneur avant tout. Et même s'il était le Seigneur du Seigneur, cela nous donnerait deux Seigneurs. Or, Paul nous parle d'un seul Seigneur : le Fils. Paul, pour reprendre ta logique, nous prendrait-il pour des demeurés ?Irmeyah a écrit : Il n'y a qu'un seul Seigneur du Sabbat, Seigneur messianique : Jésus, le Fils. Car le propos du NT est l'établissement de ce Seigneur messianique, et pas d'un autre.
Quant au Père, il est le "Seigneur des Seigneurs", et donc Seigneur du Seigneur messianique, comme expliqué dans 1 Co 15 : 27-28.
Il n'y a qu'un seul Homme. Et pourtant, dans ma maison, tous les soirs, l'Homme mange à côté de l'Homme et dort à côté de l'Homme. Pourtant, l'Homme Thiébault n'est pas l'Homme Sabine et vice-versa.
Les deux dernières propositions ne sont pas compatibles, il faut donc chercher une autre traduction. On ne peut pas être assis à côté de quelqu'un et être ce quelqu'un, à moins que Jean ne nous prenne pour des attardés, ou veuille se moquer de nous.
C'est justemùent là que repose le problème car une langue comme le grec classique, qui connaît les déclinaisons, ne permet pas logiquement de confondre le sujet et l'objet puisqu'ils sont déclinés de manière différente et ce même si leurs positions sont interchangées.Heu ... non. C'est justement là que la Bible démontre qu'il y a dissymétrie car le Père est définitivement au dessus du Fils, dont il est le Dieu. D'ailleurs ta phrase donne le tournis et ne permet pas d'expliquer la théologie biblique de manière satisfaisante. Un peu de sérieux.
La TMN traduit :
Mais à propos du Fils : “ Dieu est ton trône à tout jamais, et [le] sceptre de ton royaume est le sceptre de droiture.
Certaines versions, comme The Bible in Living English de Steven T. Byington, ou The Twentieth Century New Testament rendent Hébreux 1:8 d'une manière similaire à la Traduction du monde nouveau. Bien que traduisant "Ton trône, Ô Dieu, ...", The New Revised Standard Version précise dans une note en bas de page: "ou [Dieu est ton trône].
Se pourrait-il qu'il y ait deux façons de traduire ce passage?
On lit dans le grec: ho thronos sou ho theos, eis ton aiôna tou aiônos. L'expression ho thronos sou ho theos signifie littéralement: 'le trône de toi, le Dieu '. Il est possible, en grec, de considérer 'ho theos' (le Dieu) comme un vocatif (cas de l'interpellation), ou bien comme un nominatif indiquant le sujet ou l'attribut. Dans le premier cas, la traduction serait "ton trône, Ô Dieu ...", et dans le deuxième, "ton trône est Dieu..." ou "Dieu est ton trône".
Il y a une prééminence naturelle du Père, c'est évident. Et le Fils s'est soumis à son Père le temps de son incarnation humaine. Mais le Père efface cette supériorté qu'Il a sur son Fils. Et c'est là que prend tout son sens la phrase "il est devenu obéissant". Ne devient obéissant que celui qui ne l'est pas au départ ! Ensuite, le Père l'a surexalté, lui donnant le nom qui est au-dessus de tout nom. Pour ramener son Fils à son rang, il faut une surexaltation. Il lui donne, lui rend le nom qu'il avait avant de venir sur terre.Bien sûr, les tenants de la Trinité ne verront en 'ho theos' qu'un vocatif, rejetant la possibilité d'un sujet ou d'un attribut au nominatif. Cependant, s'ils identifient Jésus à Dieu, ils ne doivent pas oublier que le contexte proche de ces deux passages (Ps. 45:6 et Hébreux 1:8) précise que celui à qui ces paroles s'adressent, est un adorateur de Dieu : "Dieu, ton Dieu, t'a oint d'une huile de joie, de préférence à tes compagnons" (Psaume 45:8; Traduction Œcuménique de la Bible; c'est moi qui souligne). Faisant remarquer que ce Psaume s'appliquait en premier lieu à un roi humain, et non à Dieu, la New American Bible qui rend Psaume 45:7 par "ton trône, Ô Dieu ..." fait le commentaire suivant: "Le roi, dans un langage courtois, est appelé "dieu", c'est à dire plus qu'un humain, représentant Dieu devant le peuple" (consulter également Ps. 45:6 dans la New English Translation). Une note de la Traduction Œcuménique de la Bible sur ce même passage précise: "L' A[ncien] T[estament] applique parfois le terme dieu à des humains (Ps. 82.6; Ex. 4.16; voir Jn 10.34-35). Il semble ici appliqué au roi (...) Les traducteurs modernes proposent parfois ton trône est celui de Dieu (voir 1 Ch 29.23), ou ton trône est comme celui de Dieu"
Ainsi, quelle que soit la façon dont on traduit Psaume 45:6 (7) et Hébreux 1:8, ces deux passages n'identifient nullement Jésus à Dieu. Le Fils est présenté comme ayant été "oint" ("consacré" - Parole Vivante - A. Kuen) par 'son Dieu', montrant clairement la position de Jésus par rapport à son Père. Les Témoins de Jéhovah soulignent ce fait dans leur auxiliaire biblique Comment raisonner à partir des Écritures, p. 428-9:
"Sg: “Au Fils il dit: Ton trône, ô Dieu, est éternel.” (AC, BFC, Da, Fa et Jé rendent ce passage d’une manière analogue.) En revanche, MN traduit: “Dieu est ton trône pour toujours.”
Laquelle de ces deux leçons s’accorde avec le contexte? Selon les deux versets précédents, c’est Dieu qui parle. Ce n’est donc pas à lui que cette déclaration s’adresse. Qui plus est, le verset suivant emploie l’expression “Dieu, ton Dieu”, ce qui révèle que celui à qui l’on s’adresse n’est pas le Dieu Très-Haut, mais un de ses adorateurs. Hébreux 1:8 cite Psaume 45:6, qui s’appliquait à l’origine à un roi humain d’Israël. De toute évidence, le rédacteur de ce psaume n’identifiait pas le roi en question au Dieu Tout-Puissant. Du reste, d’après PB on trouve en Psaume 45:7 [6, MN] la phrase: “Trône divin, ton trône est éternel.” (BFC: “Ton trône est comme le trône de Dieu”; SO: “Dieu a établi ton trône”.) De Salomon, le roi auquel s’adressait peut-être le Psaume 45, il était dit qu’il siégeait “sur le trône de Jéhovah”. (I Chron. 29:23, MN.) Dieu est le “trône”, la source et l’appui de la royauté du Christ. Daniel 7:13, 14 et Luc 1:32 confirment que c’est Dieu qui lui confère son pouvoir.
Hébreux 1:8, 9 renvoie à Psaume 45:6, 7, au sujet duquel le bibliste B. Westcott écrivait: “La LXX admet deux versions: [ho théos] peut être pris comme un vocatif dans les deux cas (Ton trône, ô Dieu... [et] C’est pourquoi, ô Dieu, ton Dieu...), ou bien on peut le regarder comme le sujet (ou l’attribut) dans la première occurrence (Dieu est ton trône ou Ton trône est Dieu), et comme une apposition à [ho théos sou] dans la seconde (C’est pourquoi Dieu, ton Dieu...) (...). Il est peu probable que dans l’original le terme [´Èlohim] se rapporte au roi. Par conséquent, les présomptions s’opposent à la thèse qui veut faire de [ho théos] un vocatif dans la LXX. Tout bien considéré, il semble préférable d’opter dans le premier membre de phrase pour l’expression Dieu est ton trône (ou Ton trône est Dieu), autrement dit: ‘Ton royaume est fondé sur Dieu, le Rocher inébranlable.’” — The Epistle to the Hebrews (Londres, 1889), pp. 25, 26."
Enfin, exposant les raisons pour lesquelles il préfère la traduction "Dieu est ton trône", Jason BeDuhn, maître de conférences en études religieuses à l'Université du nord de l'Arizona, fait remarquer: "En réalité, j'ai dit dans mon livre [ Vérité dans la traduction: exactitudes et infidélités dans des traductions anglaises du Nouveau Testament ] , que ces traductions [tant la conventionnelle ["ton trône Ô Dieu] que celle de la TMN [Traduction du monde nouveau] que l'on retrouve aussi en note de bas de page de la NRSV [New Revised Standard Version] et de la TEV [Today English Version] ], sont possibles, si bien qu'aucune des traductions que nous comparons ne peut être rejetée comme inexacte. (...) Tout ce que nous pouvons dire est qu'une traduction est plus probable [qu'une autre] . Je pense que c'est clair. J'ai expliqué dans mon livre que la traduction "Dieu est ton trône" est plus probable, basée sur les points suivants: La linguistique: (...) Prépondérance de l'emploi de 'ho theos' comme un nominatif, plutôt qu'un vocatif. (...) le contexte littéraire [de la lettre] aux Hébreux manque de soutenir une autre référence à Jésus comme [étant] "Dieu" (...) le contexte littéraire du passage original de Psaume 45 montre que Dieu n'est pas celui à qui s'adresse l'écrivain, mais il s'agit plutôt d'un roi qui est loué en cataloguant les attributs de sa vie dans le palais. "
Si. Selon la théologie vétérotestamentaire, Dieu ne peut être homme en aucune façon, il est au dessus de l'humanité de manière absolue. En insistant autant sur la nature humaine du Christ, le NT (tous les rédacteurs sont juifs connaissant parfaitement l'AT) veut à coup sûr démontrer que le Fils est inférieur à Dieu.
Dans son discours à perspective messianiste, Paul (parlant du "Seigneur" messianique, unique) fait abstraction du Père, du Dieu au dessus du Fils, c'est évident.Or, Paul nous parle d'un seul Seigneur : le Fils.
Nan, ça marche pas ... Dieu ne se décline pas comme l'homme, impossible. Les voies de Dieu ne sont pas les voies des hommes. Par ailleurs ta parabole laisserait entendre un polythéisme, et non un monothéisme. De toute manière peu importe, la Bible est surtout monolatrique. Et cette monolatrie est adressée toujours au Père. ça tombe bien, il est aussi le Dieu du Fils, qui lui voue, lui aussi, un culte en tant que Prêtre ...Il n'y a qu'un seul Homme. Et pourtant, dans ma maison, tous les soirs, l'Homme mange à côté de l'Homme et dort à côté de l'Homme. Pourtant, l'Homme Thiébault n'est pas l'Homme Sabine et vice-versa.
De même, Dieu le Fils est assis à côté de Dieu le Père. Une seule nature, Dieu. Trois entités, le Père et le Fils et l'Esprit Saint.
Nan. Il s'écarte simplement du dessein qu'Il a lui-même établi pour laisser le Fils agir. ça n'a rien à voir. J'ai cité les textes l'expliquant. (1 Co 15 : 27-28)le Père efface cette supériorté qu'Il a sur son Fils.
Oui. Il était de nature divine, il devient de nature humaine. Il obéira donc ... aux lois physiques auxquelles sont soumis les hommes. Rien à voir avec son rapport à Dieu, qui reste le même pendant son incarnation et pendant sa "surexaltation", comme le démontrent tous les versets que j'ai cités. Tu ne trouveras aucun verset qui soutienne ce que tu dis, et démontrant que du ciel à la terre, le Fils change de position par rapport au Père.Et c'est là que prend tout son sens la phrase "il est devenu obéissant". Ne devient obéissant que celui qui ne l'est pas au départ !
ça ne fait pas de lui l'égal du Père. Le NT est clair là dessus.Ensuite, le Père l'a surexalté, lui donnant le nom qui est au-dessus de tout nom. Pour ramener son Fils à son rang, il faut une surexaltation. Il lui donne, lui rend le nom qu'il avait avant de venir sur terre.
.De ce fait, si Dieu a transmis un message aux hommes qui permet plusieurs interprétations, j'aimerais que tu me dises au nom de quoi je risque la damnation éternelle en professant que Dieu est Trinité..
Non, ce n'est pas vraiment dans ces termes que je définirais ma position. Je dirais plutôt que ton interprétation n'est pas sotte et qu'elle se base sur certains passages du NT.Irmeyah a écrit :- Tu constates donc que ma lecture est au moins aussi valable que la tienne
C'est là que nous divergeons : je trouve que la mienne est plus probante que la tienne et ce pour deux raisons également, toutes simples aussi :- Je la juges plus probante que la tienne parce qu'elle prend en compte notamment deux impératif connexes :
1 - simplicité du message biblique : la Bible proclame un Dieu, pas une Trinité compliquée et incompréhensible (Dieu est un, Dieu est trois ... faudrait savoir); nulle part dans l'AT ou le NT il n'est mentionné que la divinité devait être l'objet d'une analyse rationnalisante et complexe, englobant dans la divinité plusieurs composants. La Bible défend l'unité monolithique de Dieu.
2 - monolatrie : j'ai déjà expliqué ce point. voir notamment Révélation 19 : 6, Matthieu 4 : 10 , Jean 4 : 22-23 (où Dieu et "le Père" sont posés comme équivalents, ce qui n'est jamais le cas pour le Fils).
Je ne vois pas en quoi ton explication répond à cette question. Je pense que Dieu, finalement, se moque pas mal de ce genre de questions et qu'il préfère voir les actions des hommes vis-à-vis de leurs prochains et de leur amour pour Dieu, qu'ils croient qu'Il est une Trinité ou non.Ce qui répond à ta question : .
Exactement ! par une réponse négative ...1. le croisement de certains passages laissant croire à une infériorité perpétuelle du Fils au Père avec des passages explicitant la personnalité de Jésus répond de manière éclatante à la question de savoir si Jésus est finalement Dieu ou non ;
Thèse non valide, la nature de Dieu ne pouvant être laissée à la réflexion d'humains non inspirés, dans une période trouble et susceptbile d'être la proie des apostasies et autres hérésies.2. l'annonce faite par Jésus d'abord, Paul ensuite que le Saint Esprit ferait son travail et montrerait la vérité petit à petit répond à la question de savoir pourquoi la Trinité n'est pas inscrite dans le NT de manière explicite et nominative.
Peut-être ... mais il reste Révélation 19 : 6, Matthieu 4 : 10 , Jean 4 : 22-23, etc... ; que tu ne peux pas balayer d'un revers de main si facilement ...Je pense que Dieu, finalement, se moque pas mal de ce genre de questions et qu'il préfère voir les actions des hommes vis-à-vis de leurs prochains et de leur amour pour Dieu, qu'ils croient qu'Il est une Trinité ou non.
Oui, selon ton interprétation. Pas selon la mienne. On revient à la case départ.Irmeyah a écrit : Exactement ! par une réponse négative ...
Et puis ce propos-là contredit explicitement ce que tu dis ensuite ... si le Saint Esprit avait un si gros travail à accomplir, alors pourquoi minores-tu son importance, puisque Dieu "s'en moque pas mal" ... ?Thèse non valide, la nature de Dieu ne pouvant être laissée à la réflexion d'humains non inspirés, dans une période trouble et susceptbile d'être la proie des apostasies et autres hérésies.