Freytag en 1912 devient directeur de la succursale de Genève et, entre autres choses, il traduisait, avec l'équipement de la Watchtower, la Tour de Garde anglais en français. Juste avant de la mort de Russell, pour une raison étrange, il s'était monté la tête et il pensa qu'il etait l'esclave fidèle et prudent, ainsi il traduisait la Tour de Garde à son propre goût.

Initialement, le nouveau président J. F. Rrutherford, très bonnement, essayé de raisonner avec lui, jusqu'à ce que, après plusieurs appels, devenant Freytag obstiné de plus en plus, il a été renvoyé. Quand Freytag s'en allé, il a enlevé plusieurs machines. La Watchtower, il a appelé au tribunal, elle a gagné le procès, mais certaines machines d'imprimerie n'ont jamais été restitués.
L'Annuaire du 1980 écrit:
Avec La Tour de Garde d’avril 1919, Freytag fit apparaître son nom en deuxième page du périodique, non plus comme “gérant responsable” du bureau de Genève,

mais comme “éditeur” de La Tour de Garde.

(éditeur parce que, comme nous le verrons ci-dessous, il pensait que la Watchtower était sa création)
l'Annuaire poursuit:
Après que le cas Freytag eut été réglé, les frères français tinrent une petite assemblée à Paris le 28 septembre 1919, assemblée où l’on observa un excellent esprit d’unité et de paix. Les frères étaient résolus à coopérer avec les responsables nommés par le président de la Société. Le “Comité centralisateur” fut dissous, puisqu’il ne représentait, en l’espèce, qu’une ‘mesure défensive’ à l’encontre des agissements du bureau de Genève jusqu’à ce que la Watch Tower Bible and Tract Society ait réorganisé l’œuvre
.
Il n’y eut plus qu’une seule Tour de Garde en français, frère Adolphe Weber faisant partie du comité de traduction. Frère Rutherford écrivait aux frères d’expression française une lettre qui parut dans La Tour de Garde de novembre 1919. Après avoir exprimé ses regrets sur l’affaire Freytag et expliqué que frère Ernest Zaugg serait dorénavant responsable, à Berne, de l’œuvre en langue française.
cependant,
la dernière Tour de Garde qui a circulé dans les territoires de langue française, ainsi intitulé et rédigé par Freytag, porte la date "Octobre / Novembre 1919" (voir figure ci-dessous)

Sur la dernière page de ce magazine, Frytag adresse une lettre à ses lecteurs:

sous la lettre a été:
AVIS À NOS CHERS LECTEURS

un beau toupet ce Freytag!

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